Sur la fiscalité :
Dans ce domaine, l’objectif est évident ; parvenir à stopper la hausse continue de la fiscalité locale, puis aboutir rapidement à une baisse de celle-ci. Et cet objectif peut être atteint à la condition de retrouver la maîtrise de nos finances. Pour ce faire nous voulons :
- Revoir les attributions des subventions allouées aux associations.
- Faire un audit financier sur tous les services municipaux et activités de toutes natures.
- Proposer le versement d’une partie des indemnités (10%) du maire et ses adjoints, et des conseillers communautaires sur un compte commun destiné à financer un projet approuvé par le conseil municipal.
Sur la sécurité :
Sur ce front comme sur d’autres, l’actuel gouvernement marche sur les traces du précédent : gesticulations et effets de menton médiatiques, mais dans les faits laxisme, réduction des effectifs des forces de l’ordre, et non remise en cause des fondamentaux en matière d’immigration et de politique de la ville.
À notre échelle municipale….
- Nous opérerons une réaffectation des agents de la police municipale à de véritables activités de surveillance et de prévention (les contraventions infligées aux automobilistes ne sont pas la mission principale de nos agents).
- Nous affecterons des crédits à l’augmentation de la vidéo-surveillance et à la mise en place d’éclairages photovoltaïques avec détecteur de mouvement.
- Nous créerons des quartiers-citoyens, avec un référent qui remettra tous les mois un compte-rendu à la mairie, et disposant d’une ligne directe avec la police.
Sur l'injustice et le pouvoir d'achat :
Nous pouvons et nous devons aider nos concitoyens dans la difficulté. Mais cette aide doit aller aux Vençois et non aux immigrés clandestins, aux honnêtes gens et non aux voyous et assistés professionnels. Nos décisions, en matière d’attribution d’aides financières ou de logement, seront transparentes, contribuant ainsi à faire reculer le clientélisme.
Voici quelques mesures que nous prévoyons pour faciliter le travail de la municipalité et la vie de nos concitoyens :
- Retour du Tribunal d'instance à Vence.
- Le maire et ses adjoints recevront tous les samedis matin sans rendez-vous.
- Service d’urgence médicale avec astreinte à la charge des médecins libéraux, et service d’urgence vétérinaire, 24 heures sur 24.
- Colis de Noël aux retraités (produits vençois, dessins réalisés par les enfants de nos écoles).
Sur l'immigration et le communautarisme :
Il y a eu trop de démissions dans ce domaine, dont les conséquences sont catastrophiques en terme de sécurité, d’identité nationale et locale, de laïcité et de qualité de la vie. Nous, nous ne concèderons rien, ni en argent, ni en facilités administratives, aux projets communautaristes, sectaires religieux ou immigrationnistes politisés. Voici quelques mesures allant dans ce sens :
- Suppression de la cuisine hallal à la cantine.
- Résiliation du bail emphytéotique conclu avec l’association Vence Maghreb pour un loyer de seulement un euro par an.
- Abandon du projet de logements sociaux (350) au parking Chagall et autour du carrefour de l’étoile pour éviter une concentration communautaire.
Nos autres propositions pour mieux vivre dans notre ville :
- Tout faire pour que notre ville devienne la capitale du moyen et haut pays vençois.
- Interdire à la circulation les camions de livraison au-delà de 10 heures intra-muros.
- Pour faire échec à la Loi Duflot, modifier le PLU afin de rendre les terrains agricoles cultivés non constructibles.
- Retarder la construction des 800 logements sociaux jusqu’à l’achèvement de travaux destinés, d’une part à tripler la capacité de la station d’épuration du Malvan, et d’autre part à l’évacuation des eaux pluviales.
- Mobiliser par une action appropriée les touristes venant visiter Saint-Paul-de-Vence et négocier un espace dans le polygone pour faire la promotion touristique de Vence. - Remettre l’eau en régie, en mettant fin au contrat avec la compagnie actuelle.
- Réaliser une étude dans tous les établissements scolaires de Vence pour comprendre les attentes et les aspirations des jeunes pour leur ville, pour impulser un élan citoyen dès leur plus jeune âge et les impliquer dans la vie de la cité.
Très attaché à la cause animale, j’ai été très touché par les vidéos mises en ligne d’un jeune déséquilibré en train de torturer un chaton.
Cet acte n’est malheureusement pas isolé, et les cas de maltraitance des animaux sont trop nombreux, dans le monde et en France.
Ceci est insupportable pour une nation civilisée comme la nôtre. Les souffrances, souvent terribles et menant à la mort, sont infligées gratuitement à des êtres vivants innocents et incapables de se défendre.
Le code pénal punit ces agissements, mais le dispositif semble insuffisant à dissuader les propriétaires malveillants.
C’est pourquoi il faut aller plus loin en soutenant la pétition pour la création d’un nouveau statut juridique de l’animal, pour que nos fidèles compagnons ne soient plus considérés dans notre droit comme de simples « biens meubles ».
Il s’agirait d’une troisième catégorie juridique, à mi-chemin entre les personnes et les biens, reconnaissant les animaux comme des êtres vivants, sensibles, et capables de ressentir une douleur aussi bien physique que psychologique.
Si je suis élu, je ferai circuler cette pétition au sein de l’Association des maires de France, pour lui donner plus de poids et faire en sorte que le Parlement, seul compétent, se décide enfin à légiférer en la matière.
En ce qui concerne la commune de Vence, je prendrai un arrêté rappelant l’interdiction de la maltraitance des animaux, au nom de la protection de l’ordre public.
JEAN-PIERRE DAUGREILH.
